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fourre dans le trou du cul de sa belle pendant qu’en faisant fourchette de ce doigt avec le doigt indicateur, il plie tous les autres et insinue ce dernier dans le con. Il fait agir tout celà en même temps, avec tous les accompagnements ordinaires, et fait pâmer la dame qui, par reconnaiſsance darde son foutre dans la bouche du gamahucheur.

II. le Pet-en-gueule égoïste

L’homme étant à genoux, penché et appuyé en arrière, sur des coussins ou carreaux empilés, la femme vient se mettre sur lui, la figure sur ses genoux, le ventre sur sa poitrine, la tête en bas, le cul en l’air, les jambes et cuisses écartées, les pieds et genoux posés à droite et à gauche dessous les bras de l’homme, qui se trouve ainsi avoir bien à sa portée, le con, le cul et les fesses de la femme, mais plus relevés que dans la description du tête-bêche renversé no 4, 2e Section du Chapitre I ci-dessus page 113. L’homme empoigne chaque fesse de chaque main, écarte les grandes lèvres du con et du poil, fourre sa langue, et la fait jouer sur le clitoris ; il en fait autant dans le trou du cul, ou bien y met un doigt mouillé,