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Chapitre III.

Jouissances de la femme par le
secours de l’homme sans qu’il en
prenne sa part réciproque.



I. La Gamahuchade égoïste.

Le femme se met sur une colonne brisée, une table de nuit, un piédestal quelconque, où elle puisse s’assoir, et aux deux côtés duquel pendent deux cordons, après lesquels elle se soutient penchée en arrière et assise sur le bord du piédestal de façon que son coccyx porte seul, et que son con et son cul saillissent en dehors ; elle a les jambes et les cuisses écartées et les pieds posés à droite et à gauche sur des dossiers de chaises rapprochées de son siége, elle a ainsi les genoux qui remontent vers ses tètons, l’homme se met à genoux entre ces chaises et ses cuisses écartées, il approche sa bouche du con si bien en évidence, y fourre sa langue qu’il fait frétiller sur le clitoris, mouille un de ses doigts, celui du milieu, qu’il