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par un déluge de foutre.

VI. La femme d’affaires, ou le rouleau
sous les bras.


La femme se met un genou en terre, l’homme debout devant elle lui met son vit par devant ou par derrière entre le bras et le corps, dessous l’aisselle, qu’elle serre doucement, l’homme pouſse en avant et en arrière, patine les tètons de la femme, qui remue moëlleusement son bras, pendant que d’une main elle tient l’homme aux fesses, s’il s’est placé en avant, les caresse et les claque légèrement en parcourant l’entre deux et y fourre dans le trou du cul un de ses doigts mouillés, de l’autre main elle lui patine les couilles et le périnée, ainsi que la racine du vit qui bientôt par suite de tous ces soins, lâche sa bordée sur le dos, les reins et les fesses de la femme. Si c’est par derrière que l’homme s’est placé, la femme ne peut faire toutes ces caresses, elle ne peut atteindre que le bout du vit de l’homme avec la main opposée à celle dont le bras est pressé contre elle pour servir de faux-con, et jouer avec cette tête de vit qui lui passe de derrière en avant sous l’aisselle et lui lance dans ce cas dans