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presse de chacune de ses mains, en regardant amoureusement son amant, ce dernier remue alors comme s’il foutait en con ou en cul ; son vit ainsi pressé entre ces tètons dont le dessous frotte ses couilles, éprouve un plaisir qui, bientôt fait jaillir de sa tête rubiconde, des flots de foutre, venant atteindre le col et la figure de la femme, et retomber en jet d’eau sur ses tètons.

IV. le busc à l’envers.

C’est la même jouissance pour l’homme, mais avec un peu plus de luxure encore.

La femme se couche par le bout d’une banquette, sur le dos et les reins, le cul en dehors du bout de la banquette, les cuisses repliées en arrière, la pointe des pieds à terre ; l’homme se met à cheval par dessus sa figure vers laquelle il tourne le cul, elle l’a ainsi pour perspective, de même que le périnée &a.

L’homme pieds à terre a ses jambes debout, à gauche et à droite du corps de la femme et de la banquette ; il place son vit entre les tètons de haut en bas, il les presse de ses deux mains, s’en faisant un con délicieux, et pousse en avant et en arrière en conséquence, pendant que la femme lui baise les fesses, le périnée, le