Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/130

Cette page a été validée par deux contributeurs.
120.

II. La mouillette ou la dinette.

L’homme est à demi couché sur un canapé ou sur un lit, la femme se met à genoux devant lui, elle saisit le hochet de l’amour d’une main, le met dans sa bouche et le suce, tandis que de son autre main elle chatouille, presse et ballotte les couilles, avec les accompagnements et jeux indiqués plus haut et qu’il est inutile de répéter chaque fois. L’homme s’amuse pour occuper ses mains, à palper les tètons et autres appas à sa portée et bientôt la bombe éclate dans la bouche de la suceuse qui ne cesse les doux exercices de sa langue autour du filet, de ses lèvres et dents sur la tête de ce vit, que quand elle sent que tout est parti, sauf à elle à rejetter seulement le résultat de son opération dans les cendres ou un mouchoir, puis à se rincer la bouche.

III. le Chef de division ou le nouveau
busc.

L’homme est debout, le derrière appuyé sur un lit, la femme se met à genoux devant lui, soit à terre, soit sur des carreaux selon sa taille ; elle place le vit de l’homme, la tête en l’air entre ses deux tètons, qu’elle