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Chapitre II.



Jouissances de l’homme seul par le
secours de la femme sans qu’elle y participe
par la réciprocité.

Séparateur


I. La fausse enfilade

La femme étant fatiguée de jouir, tandis que l’homme désire encore, est couchée sur le côté, l’homme couché aussi s’approche d’elle par derrière, lui fourre son vit entre les cuisses qu’on lui ferme pour le moment, agit comme s’il était entré dans le cul ou dans le con et fout gravement ces cuiſses en remuant de même palpant de ses mains pour augmenter l’illusion tous les appas de la belle, qui lui tourne seulement le visage, pour pouvoir faire langue fourrée ; tandis qu’elle serre et remue légèrement ses cuisses, sur lequel le vit excité par le frottement des poils du con et du satin de ces cuisses, ainsi que par le toucher des fesses rondes, blanches et douces contre le ventre de l’homme, lâche bientôt les écluses amoureuses.