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du lit, et la tête opposée sur le bord opposé. La femme place, à sa commodité, un tabouret près ce bord du lit, elle monte sur ce tabouret, d’un pied qu’elle y laisse, et passe l’autre par dessus son amant, le plaçant sur le lit de manière que, faisant face à son amant, et se pliant, elle lui met son con sur la figure, et son cul sur la partie de la poitrine près du col, y appuyant légèrement pour ne pas l’étouffer et se soulevant à cet effet sur ses pieds ; elle pose même dans ce but une main sur la tête de son amant appuyée au bord extérieur du lit, elle allonge son autre main qu’elle porte au vit de l’homme et qu’elle branle savamment, en lui chatouillant de temps en temps les couilles, le périnée et la racine du vit dont elle frotte doucement la tête qu’elle décalotte pour en caresser le filet. L’homme d’une main passe par derrière, joue avec les fesses de la femme tournée vers ses pieds à lui, et appuie ces fesses sur sa bouche dont la langue frétille sur le clitoris et dans le con comme dans les précédentes figures, il passe son autre main entre son corps et la cuisse dont la jambe est allongée et passée sur le tabouret, il fait revenir cette main par devant pour écarter les poils et