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il ajuste alors son vit, en le fesant ployer, dans le con de la femme, et s’y maintient d’une main, dont il chatouille en même temps la motte et le clitoris, à sa portée, pendant que tous deux poussent et repoussent avec précaution pour ne pas déconner, car c’est encore là une posture qui demande du soin, de l’adresse et surtout un long vit, avec lequel d’ailleurs il y a toujours plus de ressources, demandez à ces dames. En effet, on peut toujours à cet égard remédier au trop long en ne faisant pas tout entrer, mais remédiez donc ou trop court ? Il n’y a pas moyen d’y mettre d’allonge.

LXII. Le sac de blé en avant.

La femme se couche en travers le dos sur le lit, elle relève ses cuisses et jambes, et passe à droite et à gauche, ses pieds dans des embrasses de rideaux, assez élevées pour qu’elle ne pose plus sur le lit que par la tête et les épaules, et que ses reins, ses hanches et tout le reste soient en l’air écartés. L’homme monte sur le lit, passe sa tête et son corps, d’avant en arrière, entre les cuisses ouvertes de la femme à laquelle il présente son derrière et dont il a la tête entre ses pieds à lui, il se penche en avant, ajuste son vit dans le con, et quand il y est, il se courbe tout à fait en avant, appuie des mains sur le lit proche le haut du dos