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LVIII. Le jeu des croupions.

Cette posture est dans le même cas que la précédente, c’est-à-dire qu’elle demande un long vit, quoiqu’elle ait de l’analogie avec le « moyen de ne rien perdre no 48 » et la « grande entrée no 49 » qui sont loin d’être aussi exigeantes, et qu’elle demande aussi de l’adresse, de la flexibilité, sans que tout cela soit récompensé suffisamment et par un plaisir qu’on ne trouverait pas dans d’autres postures moins fatiguantes et praticables par tout le monde, c’est encore un simple objet de caprice.

La femme se couche le dos sur le lit ou à terre, le bas des reins soutenu par un coussin, elle plie les jambes et relève ses cuisses qu’elle écarte, ses genoux remontent à ses tètons et ses talons revenant en avant à ses fesses. Quand elle est ainsi pelotonnée, l’homme se met à cheval sur elle, les pieds sur le lit ou à terre placés en dehors et à droite et à gauche du corps de la femme, les jointures de ses fesses aux cuisses, posées sur les coups de pieds de la femme pelotonnée, il insinue son vit entre les quatre cuisses dans le con de la dame, passe ses bras autour et entre ses genoux et le corps de ladite dame pour lui prendre les fesses et l’attirer à lui ; elle le tient de son côté