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tourner le panier à droite et à gauche, ce qui tortille délicieusement son vit, le fait bander plus raide encore, et donne aux deux amants des voluptés incalculables, qui les obligent à décharger, comme si leurs parties sexuelles étaient des fontaines de foutre.

LVII. Les pieds debout.

C’est la contre partie de la levrette debout no 38. Les acteurs sont face à face, la femme monte sur des carreaux de manière à ce son con soit à la hauteur du vit de l’homme qui l’enconne dans cette position, elle l’étreint de ses bras au col, il la tient pressé contre lui d’une main, bouche à bouche, poitrine contre poitrine, il a dirigé de son autre main son vit dans le con, et quand il y est, il porte cette main à la fesse de la femme qu’il attire par là à lui. Les acteurs remuent ensuite de la charnière, c’est-à-dire des reins et du cul, en se faisant langue fourrée, en se pressant et se frottant l’un contre l’autre, il faut bientôt finir comme à l’ordinaire, par une mutuelle décharge. Du reste cette posture est peu commode ainsi que la levrette no 38, qui lui est analogue, elle est fatigante et exige un vit fort long pour donner beaucoup de plaisir. Elle n’est bonne que comme caprice d’un moment.