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et des transports qui n’ont de terme, que par la double émission de leur foutre à tous deux.

LVI. Le Panier ou la Kourakin.

Un panier rond sans fond, attaché par les anses, est suspendu à une corde qui roule sur une poulie fixée au plafond, et retombe par son autre bout à terre. La femme s’assied dans ce panier entre les anses, à la crapaudine, ayant le dos appuyé sur un bord, les jarrets à cheval sur le bord opposé et les jambes pendantes en dehors, son cul sort par le fond du panier, ainsi que sa motte et son con qui se trouvent faire saillie en dehors. L’homme enlève un peu le panier en tirant la corde, il se couche de son long à la place qu’il occupait, le dos à terre et le vit en obélisque, en face des parties de la femme qui saillissent en dehors comme nous l’avons dit, il laisse doucement retomber le panier, qu’il soutient d’une main par la corde à la hauteur convenable, et de l’autre il ajuste son vit dans ce con que le dessous du panier lui offre. Ensuite, quand il y est introduit, il remonte et redescend alternativement le panier doucement, et de manière à ne pas déconner. Pendant que son vit est enfoncé jusqu’au poil, il peut aussi faire