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Car s’il vous disait ce qu’il pense,

Vous sauriez qu’il pense au bonheur.

(Bis)


Maintenant, remplissons nos verres.
Trinquons à nos jeunes époux,
Souhaitons-leur des jours prospères,
De leur ivresse enivrons-nous !
Le mari meurt d’impatience…
Accusant minuit de lenteur…

Car s’il vous disait ce qu’il pense,

Vous sauriez qu’il pense au bonheur.

(Bis)


La mariée, ô joie extrême !
Ses doux yeux nous donnent l’espoir
Que dans neuf mois, pour un baptême,
Nous pourrons, ici, nous revoir.
D’un bébé l’heureuse naissance
Au mari fera grand honneur…

Car s’il vous disait ce qu’il pense,

Vous sauriez qu’il pense au bonheur.

(Bis)