Page:Autran - Œuvres complètes, t2, 1875.djvu/46

Cette page a été validée par deux contributeurs.

VIII

BULLETIN

à madame ***.

 
Vous plaît-il, ce matin, de savoir, noble dame,
Ce que devient chez moi votre sublime époux ?
Ce mortel glorieux, refait de corps et d’âme.
Passerait pour heureux s’il n’était loin de vous.

À mon tiède vallon, à ma sûre hygiène,
Quand vous l’avez remis au nom de l’amitié,
En ferai-je l’aveu ? je n’ai pas vu sans peine
Le malade à guérir qui m’était confié.