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» Ce n’est pas pour croupir comme de lourds étangs
Que la main du Très-Haut, à l’aurore des temps,
Vous amoncela dans l’abîme :
L’éternel mouvement, telle est la grande loi,
Que Dieu fit pour la mer ; — qu’il fit aussi pour toi,
Humanité non moins sublime ! »