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en face ; elle n’y était pas. Aurait-elle eu l’imprudence d’entrer dans le bois ? dit Elinor ; mais elle nous entendrait. Elle s’arrête et l’appelle encore. Un cri perçant du colonel lui répond ; il vient d’apercevoir celle qu’il cherchait, étendue sur l’herbe et comme privée de vie. Sa robe blanche se confondait avec l’escalier de marbre, ce qui les avait empêchés de l’apercevoir d’abord. Mais le colonel voulut monter pour chercher au loin s’il la verrait, et il la découvre à ses pieds. Qu’on juge de son émotion et de celle d’Elinor, qui vient à son cri. Elle a besoin de rassembler toutes ses forces pour ne pas être dans le même état que sa sœur. Ils la relèvent à demi ; Elinor s’assied sur la marche pour la soutenir ; mais tous leurs efforts pour la ranimer sont inutiles. Les larmes d’Elinor