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qué à sa parole. Je l’estime de sa noble résistance ; je ne l’ai vu que deux ou trois fois ; mais il m’a plu dès le premier moment. C’est un jeune homme plein de mérite, sans aucun des ridicules et des travers si fréquens que l’on a lorsqu’on est élevé avec l’espoir d’une brillante fortune. Je m’intéresse à lui pour lui-même et parce qu’il est votre ami, et je voudrais que dans ce moment fâcheux, cet intérêt pût lui être utile. J’apprends qu’il va se faire consacrer et prendre le parti de l’église, et je le loue encore d’avoir préféré cet état à d’autres plus brillans et moins respectables. Voudriez-vous avoir la bonté de lui dire que le bénéfice de ma terre de Delafort se trouve heureusement vacant ; j’en ai eu l’avis ces derniers jours, et s’il veut bien l’accepter, je serais