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gitation que de la gaîté, et cette agitation s’augmentait graduellement. Elle pût à peine manger quelque chose, et, quand elles furent rentrées dans le salon, elle n’écoutait pas même ce qu’on disait, n’était attentive qu’au roulement des carrosses et courait sans cesse du coin du feu à celui de la fenêtre, où elle resta enfin debout, pour voir tout ce qui se passait dans la rue. Elinor était charmée que madame Jennings occupée ailleurs, n’en fût pas témoin.

L’heure du thé les réunit. Maria était alors dans un état d’émotion presque douloureux à force d’être vif. Chaque coup de marteau dans les maisons voisines la faisait rougir et pâlir, lorsqu’elle voyait qu’elle s’était trompée. Enfin un beaucoup plus fort