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sa grande satisfaction) entendit Maria lui exprimer à voix basse tout son regret de ne pouvoir accepter le cheval qu’il voulait lui donner. Elle lui dit les motifs qui lui avaient fait changer d’avis, et avec assez de fermeté pour qu’il n’essayât pas de les détruire ; son chagrin cependant fut très-apparent, et après l’avoir exprimé avec vivacité, il ajouta aussi à voix basse : Eh bien ! Maria, ce cheval est encore à vous, quoique vous ne puissiez pas vous en servir à présent. Je vous le garderai jusqu’à ce que vous vouliez le réclamer ; quand vous quitterez Barton pour vous établir dans une plus grande maison, ma Reine Mab (c’est son nom), vous y recevra.
C’est tout ce que put entendre Elinor ; et de la manière dont