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promenades délicieuses et variées. La vallée offrait dans les jours de chaleur des ombrages frais, et de presque toutes les fenêtres de la maison, l’on voyait des collines qui invitaient d’aller respirer sur leur sommet un air pur et vivifiant, et d’aller admirer les plus beaux points de vue. Il avait plu pendant deux jours, et les habitantes de la chaumière avaient été retenues chez elle. Dans la matinée du troisième jour, le temps était encore douteux, mais Maria, ennuyée de la retraite, voulut faire une promenade : on apercevait quelques rayons de soleil à travers des nuages pluvieux. Madame Dashwood et Elinor refusèrent de l’accompagner ; l’une préféra ses livres, et l’autre, ses pinceaux, au danger d’être mouillées. Maria persista, assura que le temps se-