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appeler au témoignage du colonel Fitz-William, qui étant mon parent, mon intime ami, et de plus un des exécuteurs testamentaires de mon père, a naturellement connu les moindres détails de ces transactions. Si votre haine pour moi rendait mes assertions peu satisfaisantes, vous ne sauriez, par le même motif, douter de la parole de mon cousin ; afin qu’il vous soit possible de le consulter, je chercherai l’occasion de vous remettre cette lettre dans le courant de la matinée.

« Je ne veux plus qu’ajouter : Dieu vous bénisse !

« Fitz-William Darcy. »