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quoi aviez-vous l’air de ne point vous occuper de moi ?

— Parce que vous étiez sérieuse et taciturne, et que vous ne m’encouragiez point du tout.

— Mais j’étois embarrassée.

— Et moi aussi.

— Vous auriez pu me parler davantage le jour que vous vîntes dîner ici.

— Je l’aurois fait si j’avois senti moins vivement.

— Qu’il est malheureux que vous ayez toujours une réponse satisfaisante à me faire, et que je sois assez raisonnable pour l’admettre ! Mais je voudrois savoir combien de temps vous auriez pu continuer ainsi, si vous aviez été laissé à vous-même ? Je voudrois savoir quand vous auriez parlé, si je n’avois pas commencé ? La ferme résolution que j’avois prise de vous remercier des bontés que vous avez eues pour Lydie, a eu beaucoup d’effet,