point dérangés par sa présence dans le pays.
— Oh non ! Ce n’est pas moi qui fuirai la présence de Mr. Darcy ; s’il désire ne pas me voir, il n’a qu’à s’en aller. Nous ne sommes pas sur un pied fort amical et j’éprouve toujours une certaine peine lorsque je le rencontre ; mais je n’ai pas d’autres raisons de l’éviter que celle que je dis à tout le monde ; un sentiment de chagrin et de regret en voyant ce qu’il est. Son père, Miss Bennet, étoit le meilleur homme qui fut jamais, et le plus véritable ami que j’aye eu. Je ne puis rencontrer Mr. Darcy sans être accablé de mille douloureux souvenirs ; sa conduite envers moi a été scandaleuse, je lui aurois cependant tout pardonné, s’il n’avoit pas trompé mes plus chères espérances et terni la mémoire de son père.
Elisabeth prenoit un intérêt toujours