Page:Austen - Love & Freindship and other early works.djvu/160

Cette page n’a pas encore été corrigée


TROISIÈME LETTRE

D'une JEUNE FEMME en situation de détresse à son amie

Il y a quelques jours, j'étais à un bal privé donné par M. Ashburnham. Comme ma mère ne sort jamais, elle m'a confié aux soins de Lady Greville qui m'a fait l'honneur de m'appelée pour moi et de moi demandant de m'asseoir vers l'avant, ce qui est une faveur à propos de laquelle je suis très indifférente surtout que je sais qu'il est considéré comme une grande obligation."Alors Mlle Maria (a dit sa Seigneurie comme elle a une vue  avançant à la porte du chariot) Je ne suis pas une personne qui ne peut pas être découragée. Avez-vous une nouvelle robe ? "

"Oui m'dame." répondis-je avec autant d'indefférence comme je pouvais le faire.

"OK, et une belle aussi je pense ( avec sa permission je me suis assis près d'elle) Que je devais en posséder,car tu sais que je dis tout ce que je penses, pour moi c'est une dépense inutile Pourquoi tu n'as pas porté ton vieux rayé ? Ce n'est pas ma façon de critiquer les gens parce que