Page:Austen - Le Parc de Mansfield tome3et4.djvu/140

Cette page a été validée par deux contributeurs.

lui eût paru avoir été assez longue, et que le visage de Fanny portât l’empreinte d’un peu de contrariété, il était disposé à espérer qu’un si long discours n’avait pas été tenu et écouté sans quelque avantage pour l’orateur.