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une bonté qui lui eût causé autant de satisfaction.

Lady Bertram était entièrement paisible et contente ; elle n’avait aucune objection contre le bal. Sir Thomas lui promit qu’elle aurait très-peu d’embarras, et elle l’assura qu’elle n’en était nullement effrayée, et qu’elle n’imaginait pas qu’il n’y en eût aucun.

Madame Norris voulut donner son avis pour le choix des appartemens, mais elle trouva que cela avait déjà été arrangé ; et quand elle chercha à fixer le jour, il parut que le jour était aussi déterminé. Sir Thomas s’était amusé à tracer une esquisse complète de la fête ; et aussitôt que madame Norris eut cessé de parler, il lut la liste des personnes qui devaient être invitées, et indiqua le