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CHAPITRE XII.

Le désir que William avait témoigné de voir danser Fanny, avait fait une impression plus que momentanée sur son oncle. L’espérance que sir Thomas avait donnée qu’une occasion se présenterait pour cela, n’était pas imaginaire. Il était très-disposé à satisfaire un si aimable sentiment, et à procurer de l’agrément aux jeunes gens en général ; de sorte qu’après avoir réfléchi là-dessus et pris sa résolution avec une paisible indépendance, on en vit paraître le résultat le matin suivant, au déjeûner, lorsqu’après avoir rappelé ce que son neveu avait