heure ; mais s’il est véritablement amoureux de Jeanne Fairfax ? »
« Paroles vides de sens ! il se soucie fort peu de Jeanne Fairfax ; quant à l’aimer, il n’en est rien. Il ferait tout au monde pour l’obliger ainsi que sa famille ; mais…. »
« À la bonne heure, dit madame Weston en riant, mais le plus grand bien qu’il pût leur faire, serait de donner à Jeanne une maison aussi respectable que Donwell. »
« S’il leur rendait ce bon service, c’en serait un bien mauvais pour lui, ce serait une alliance honteuse, et qui le dégraderait. Comment voudrait-il appartenir à mademoiselle Bates ? L’avoir continuellement à l’Abbaye, pour le remercier très-humblement de la bonté qu’il aurait eue d’épouser Jeanne ? Si bon, si obligeant ! À la vérité, il avait toujours été pour elles un