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de n’avoir pas une seule connaissance ! — Oui, ma chère, répondait Mistriss Allen de l’air le plus calme, très-désagréable en vérité. — À la manière dont ces dames nous regardent, je crains que nous n’ayons commis une inconvenance, en venant nous asseoir à leur table, ou qu’elles ne pensent que nous voulons indiscrètement nous mêler à leur société. — Je suis vraiment fort embarrassée ; que n’avons-nous ici quelques amis ! — Si nous en appercevions, nous irions bien vîte les joindre. — Assurément, ma chère. Les Skinners étaient ici l’année dernière. Je voudrais les y voir aujourd’hui. — Ne ferions-nous pas mieux, Mistriss, de nous retirer ? Vous voyez que nous ne pouvons prendre ici, ni thé, ni autre chose, n’ayant personne pour nous en présenter. — Cela est vrai et