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— Mon frère doit les connaître.
— S’il les connaît, pourquoi se conduit-il ainsi ?
— Henri ne fit pas de réponse et chercha à détourner la conversation ; mais Catherine reprit vivement : pourquoi ne lui persuadez-vous pas de partir avec vous ? Plus il restera à Bath, plus il se préparera de chagrins ; je vous en prie, pour l’amour de lui et de quelques autres encore, engagez-le à quitter Bath promptement. L’absence le guérira à la longue, j’espère ; il n’a rien à gagner ici ; il ne peut être que malheureux en y restant.
Henri, souriant, dit : je suis sûr que mon frère ne voudra pas partir.