de conversation bien plus important. On avait reçu de James Morland une seconde lettre, dans laquelle il détaillait les bonnes intentions de son père en faveur de son mariage. Celui-ci était possesseur d’un bénéfice qui lui rapportait annuellement environ quatre cents livres sterlings. Il le résignerait à son fils dès qu’il aurait atteint l’âge requis pour l’administrer ; mais il ne pouvait distraire en faveur d’un de ses enfans aucune partie du reste de son revenu, qui lui était nécessaire pour subvenir à l’éducation de tous ; il pouvait cependant assurer que la part qui reviendrait après lui à son fils, monterait au moins à une pareille somme. James exprimait la reconnaissance dont il était pénétré pour son père, et en même tems il faisait sentir la nécessité où ils
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