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faire la toilette de sa poupée ; à élever un moineau, qu’à soigner ces roses, dont les auteurs représentent la culture, comme l’amusement chéri des jeunes beautés, desquelles ils nous donnent l’histoire : voulait-elle des fleurs, elle les arrachait plutôt qu’elle ne les cueillait, encore était-ce pour les effeuiller et les éparpiller aussitôt.

Elle ne montrait de dispositions pour aucune chose ; elle ne faisait attention à rien de ce qu’elle entendait, ne s’appliquait à rien de ce qu’on lui apprenait, n’en retenait rien. Sa mère avait été trois mois à lui faire répéter son Pater, et malgré cela, sa jeune sœur Sally, le savait beaucoup mieux qu’elle.

Toutefois Catherine n’était ni stupide, ni sans moyens : elle apprit, aussi vite qu’aucune autre jeune per-