Le paradis entre vous deux, c’est voir ce que Dieu mit en elle entre tes bras et le lui dire. Et quand il s’efforce pour toi, Marthe, c’est de lui dire : « Quand tu comprends, je te dois tout. Tu me dois l’autre tout. » Et de rire de joie et de rire d’amour.
La crânerie de décrets est de mise. Car il ne faut pas oublier de lui donner conscience de toi, fille de braves.
Même à l’état robuste elle est l’écorchée vive dans notre état social — où rien n’est préparé ni ménagé pour elle si je n’arrive à sa rescousse, moi dictateur de la joie.
L’amour vient pour guérir de douceur le mal fait à la femme par nos lois :
(Droit romain. Code Napoléon, codes de guerre et misogynes, accablant la plus faible, la réduisant à rien. Voir et revoir le code de l’Éternelle Mineure vénéré des juristes, par Paul de Lauribar.)