Pierre sourit devant les disciplines du bonheur auxquelles il n’avait pas songé et le voici promu le grand frère d’ardeur.
La mère grave, inquiète :
« Je parle de santé, je parle de bonheur. Un cher gaillard dûment épris, a tôt fait de démolir une vierge s’il ne se fait pas aussitôt la mère de sa femme et ne borne pas d’abord son plaisir à nous la mettre en joie et en chansons, à lui faire des joues bien élastiques. Plus tard vous saurez cela de tendresse. Je n’interviens que pour avancer l’heure et pour vous dire aussitôt ce que vous n’auriez su sans moi qu’après dommages. Plus tard le doux cuir féminin subira mieux l’assaut et se fera plus résistant.Il s’agit de fortifier le terrain par la douceur. »
« Dans le bon mariage, la femme doit apprendre, le mari doit oublier », écrit Suzanne Spezzafumo. Toi Jeanne, parle si quelque habitude du mari te contraint et qu’il change pour toi son habitude. Des sottes sont parties plutôt que d’expliquer. Explique.