garder quelques libertés pour acheter des livres, faire un petit voyage, une fête du cœur, pour voir un spectacle exaltant. Respect à l’esprit avant la guenille.
Mais si Monsieur peut avoir son bureau à la maison il le lui faut. L’amour a bien compris pourquoi.
Des mères trop fines ne parlaient plus à leur fille le soir des noces du secret de la paire. La mère entendant sa fille pérorer en bravache à tort et à travers au sujet du couple, la croyait informée. Erreur. La vierge avait entendu tout sauf le nécessaire.
Je citerai donc le seul avertissement qui m’ait semblé indispensable. Je ne vois rien à y changer :
La mère de Jeanne (38 ans) : — Allez-y comme à la vie. Le marié sort. Jeanne : « C’est vrai, tu sais, je crâne par venette. J’ai pu te paraître avertie. Mais le fait est là : je ne sais rien. Je voudrais ne pas avoir l’air trop bête. Parle-moi. On m’a dit qu’il y avait un secret assez dur pour la première nuit. »
— La mère : « Si on te l’a dit, tu en sais assez pour ne pas te croire infirme. Tu aimes, n’est-ce pas ? On ne le sait qu’à l’heure de tout laisser pour un ? »
— Jeanne : « Oui. »
— La mère : « Alors de quoi me parles-tu ? N’es-tu