mais l’étranger et l’orgueilleux ne sont arrêtés par aucune crainte,
et, après avoir agi, ils sont sans réflexion,
[et ainsi ils sont convaincus de folie.]
et, après l’action, tu n’auras pas à te repentir.
et tu ne te heurteras pas aux pierres.
et sois sur tes gardes vis-à-vis de tes enfants.
car cela aussi est observation des commandements.
et celui qui se confie au Seigneur ne souffrira aucun dommage.
mais, s’il est éprouvé, il sera délivré.
mais qui est hypocrite envers elle est comme un vaisseau dans la tempête.
et pour lui la loi est digne de foi comme l’oracle de l’Urim.
assemble ton savoir, et réponds.
et sa pensée comme un essieu qui tourne.
il hennit sous tout cavalier.
puisque la lumière de tous les jours de l’année vient du soleil ?
il a institué des temps divers et des fêtes.
et il y en a qu’il a mis au nombre des jours ordinaires.
18. Mais l’étranger. Au lieu du nominatif, on lit volontiers le génitif et on a, en reliant ces mots à ce qui précède : ne méprise pas l’avis d’un étranger. Vulg. (23), 3e et 4e membres, même lorsqu’il aura agi seul et sans conseil, il sera puni par ses propres desseins (?) Hébr., l’homme sage ne cache pas sa sagesse, et le moqueur ne garde pas sa langue.
21. Uni ; ou bien, inexploré. Vulg. (25, 26), et ne t’engage pas dans une voie pénible, de peur de mettre devant ton âme une pierre d’achoppement. Et garde-toi de tes fils, et fais attention aux personnes de ta maison. Hébr., ne te fie pas à la voie des méchants, et sois attentif à ta fin.
22. Hébr., dans toutes tes voies garde ton âme, car quiconque fait cela garde le précepte.
23. En la loi. Vulg. (28), en Dieu.
XXXIII (Grec, XXXVI, 1-16). 2. Hébr., 1er membre, qui déteste la loi ne s’instruira pas (le 2e membre manque). Vulg., 2e membre, et il ne sera pas brisé comme le vaisseau dans la tempête.
3. Hébr., 1er membre, l’homme intelligent comprend la parole du Seigneur. — Comme l’oracle de l’Urim. m. à m. comme l’interrogation des justes. Mais δίκαιον du Codex Vaticanus est remplacé dans la plupart des manuscrits par δηλῶν, mot par lequel les LXX rendent ordinairement Urim (Nombr. xxvii, 21 ; I Sam. xxviii, 6) ou Thummin (Deut. xxxiii, 8 ; I Sam. xiv, 41) : comme la réponse faite à l’interrogation de l’Urim. Dans la Vulg. (4), ces mots sont rattachés à ce qui suit : Celui qui manifeste le désir de poser une question prépare sa parole etc. — Ici finit le fragment hébreu commencé xxx, 11.
7. Vulg. Pourquoi un jour l’emporte-t-il sur un jour, de même la lumière sur la lumière, une année sur une année, puisqu’ils viennent tous du soleil ?
8. Après le 1er membre, la Vulg. ajoute : quand il eut fait le soleil qui observe ses lois ; et après le 2e (9) : et dans ces temps on a célébré des fêtes à l’époque marquée.