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Cha MV, .5, L’ECCL gSIASTE^ chap. V, 13.

J’ai vu tous les vivants qui sont sous !e soleil ~ 

. Ifr^neVi J "p e ^r eqUi *"* "^ ™ "*"* ™

Elle etait infinie toute cette foule 

Qui lui rendait hommage.

Et cependant la posterite ne se rejouira pas a son suiet. C est la encore une vanite et la poursuite du vent.

?i !hf de d t0 ! ? pied ^ uand tu vas d ,a ^son de Diet,b 

approcher pour ecouter ’

Vaut mieux que d’offrir des victimes a la maniere des insenses-Car leur ignorance les conduit a faire mal. "Menses,

1 7 _ , 9 ] # mrsorares 17 — 1 &j ; — s abandonncr a la Providence 
N’e sois pas presse d’ouvrir la bouche 

Et que ton cnmr ne se hate pas

O’exprimer une parole devant Dieu, Lar Dieu est au del, et toi sur la terre- <Jue tes paroles soient done peu nomfare’uscs. " F^c ? mul V. t ." d ? d f pupations naissent les songes,

%ir^*Kftr fait entendre ia A * "— ■ 

Xe tarde pas a laccomplir, ’

Car il n’aime pas les insenses : Accomplis Ie vceu que tu as fait. 4 Mieux vaut pour toi ne pas faire de vceu, yue d en faire un et de ne pas l’accomplir. ’ Pt C K GtS pas A to . bouche de faire P^hcr ta chair, bt ne dis pas en presence de 1’envoye de Dieu (Jue c est une inadvertance.

Pourquoi ferais-tu Dieu s’irriter de tes paroles fct detruire les ceuvres de tes mains ? n’vVnT^fJ- U a d f Vanit6s ^ ns la multitude des occupations 11 v en a aussi dans beaucoup de paroles- * L est pourquoi crains Dieu.

jVl V °A dan ? un . e province le P auvr e opprime, 

Le droit et la justice violes, ™ ’ Ac t en etonne point,

i U avantage pour le pays a tous egards, J. est un roi qui donne ses soins a ^agriculture. 9 Celu, qui aime I’argent n’est pas ralsie^argent fet celui qui aime les richesses n’en goute £as le fn™ C est encore la une vanite

Q "no d m b"ux : enS " mUltipUCnt ’ CCUX qUi ,6S ma "^ nt dcvi ~ »»i P>us 

Et quel avantage en revient-il & leurs possesseurs Sinon qu’.Is les voient de lours yeux. po !,s,es5eurs ■ If ^iimeil du travailleur est doux, Un il ait peu ou Ixsvcoup a manger ; Mais !a satrite du riche ne le laiSe pas dormir. ’i est un mal grave que j’ai vu sous le sole™

1 C« ri*S2 ? "»***** P° u r «>" malheur, par celui qui les possede-Ef 

s’7l ^nlrrtf P ?, r ^f 1 ^ fdcheu * ovenement P ^*" tt s .1 a engendru un his, il ne lui reste rien entre les mail mains.

V, 5. L’env^dt Dieu, LXX ct dWre, versions, devant U/ a(t 4e Dieu. - 75" -