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Chap. IX, 9. IIme LIVRE PES MACHABEE S. Chap. X, 6. X l’heure croy ait. commander aux flots tomtedans une maladie cruelle, jai juginede la mer, dans sa jactaiice Slirhumaine, c^^re de m’occuper du bien-etre de tous. Ce lui q„i s’imaginait peser dans la balance K^ttS^^"


cette

u * - j A , , tn *ire une grande connance de eu^rir d 

la ^Uteiir des montagnes, ayant ete maladie. Mais consider q S mon pere preciplte par terre, il etait porte dans q^and il porta ses armes dans les hautes proline litiere, rendant manifeste aux yeux Vlnces ’ d£ s igna son futur successes, afin que, 9 dc tous la puissant de Dieu. Du /orps ^fZ^Z^^Zt^Tt de 1 impie SOrtaient des essaims de vers : affaires eHaient remises, ne * ’J


fussent pas trou-


__ I — - — - «w, — ~. m -w... 4V4MUS3, i 4C IU33CIU JJUA IrOUlui Vivant, sa chair Se detachait par ? ?**.’• songeant en outre que les monarques 25 Iambeaux avec d’atroces douleurs. et ’^^p^^ des princes voisinsde mesE tats

  • j - j~ •* • » . . . <=P*ent les circonstances et attendent ce aui ar-

(Odeurde poumture qui S J en exhalait rivera^Videsigne pour rot mon fib An&s

incommoaait tOUte 1 armee ; et Celui qui i  S^SS ?*^ * jl 

porter a cause de cette intolerable puan- vous demande done et vous prie de vous souteur. Alors, profondement blesse, il ’ v ? ni * de mes Menfaits, tant generaux que parcommenca a revenir de ce erand orzueil fi™ "• et de conserver chacun la bienveil-

  • • ’ •* 1 • * & v*s" vl * 1 lance que vous avez pour moi et Dour mon fiU

et a se COnnaitre Ul-meme, SOUS le fouet Car j« M suis persuaddque, plein K doSSLr ei 27 dlVin qui redoublait a Chaque moment d numanite il realisera mes intentions et se

ses douleurs ; et COmme lui-meme Tie montrcracon descendanta votreegard." 

pouvait supporter son infection, il dit : Ainsi ce meurtrier, ce blasphemateur 28

  • ’ II est juste de se soumettre a Dieu et, ; en proie a d’horribles souffrances, cornsimple

mortel, ne pas s’egaler insolem- me il en avait fait endurer aux autres

ment a la divinite. " Mais ce scelerat mourut sur la terre etrangere, dans les 

priait le souverain Maitre qui ne devait montagnes, d’une mort miserable. Phi- ^g

plus avoir pitie de lui, promettant de i lippe, son compagnon d’enfance, faisait 

declarer hbre la ville sainte, que naguere transporter son corps ; mais craignant il avait hate d’egaler au sol, pour en le jeune Antiochus, il se retira en Egypte

faire le tombeau de ses habitants ; de aupres de Ptoiemee Philometor. 

rendre semblables aux Atheniens tous Cependant Machabee et sescompa- in es Juifs, qu’il ne jugeait pasdignesde gnons reprirent, avec l’aide du Seila sepulture, les destinant, eux et leurs gneur, le temple et la ville. lis detrui- 2 cmants, a servir de pdture aux oiseaux sirent les autelsque les etrangers avaient

de proie et aux betes feroces ; d’orner dresses sur la place pubiique, ainsi que 

des plus belles oflrandes le temple saint j les bois sacres. Puis, apres avoir pu- 1 qu il avait jadis depouiUe, de lui rendre j rifie le temple, ils eleverent un autre et au-dela tous ses ustensiles sacres et i autel, et ayant tire du feu des caiiloux de subvenir de ses propres revenus aux ! ils prirent de ce feu et, apres un intertrais des sacrifices, et en outre de deve- valle de deux ans, ils offrirent un sacrimr lui.memc Juif, et de parcourir tous : fice, firent de nouveau fumer 1’encens, les heux habites en y proclamant la puis- ; allumerent les Ianipes et mirent sur la sancedeDieu | table les pains de proposition. Celafait, 4 is Mais ses souffirances ne se calmerent i prostemes par terre, ils prierent le Seipas, car le juste jugement de Dieu etait , gneur de ne plus faire tomber sur eux de yenu sur lui ; c est alors que, voyant son I tels maux t demandant, slls pechaient aat desespere, il ecnvit aux Juifs la j encore, d’etre chaties par lui comme il lettre ci-dessous transcrite, veritable convient, mais de ne plus etre livres a supplication, et concue en ces termes : des nations impies et barbares, Le tern- 5

Aux juifs, ses excelknts citoyens, le roi et ■ pie avait ete profane par les etrangers le 

enfants si vos affaires vont selon vos desirs j et . ll . se rencontra qu ll fut purihc a pa-J en rends a Dieu les plus grandes glotres, met- re " J our -

?inr onespoi r daas 7 cic ’* Pour moi i e suis Et ils firent pendant huit jours une 6 

PffS^dSarWteK ^te a la manie^ de ceUe dJ u^na C

lance que j’ai recues de vous. &&> sc souvenant que peu de temps A m on retour des conuees de la Perse, etant auparavant ils avaient passe la fete des ra C 9 nt L un^/i/5^ nti ?Chl ^ <tait P ro H lc - i lcttre * ^ ui se lrouvait probablement dans Ton ^q. xvh, ttrJ^t .^S 1, VragCdC JaS °" (U ’ 24 ^ rabr6viateDr ne no " . Dtvtniryiif : e’estk-due proselyte.

25. La Uttre transcrite ci-dessous ; c

cette

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yrage de Jason (u, 24), Tabreviateur ne nous

1 a pas donnee.

X, 1 sv. Comp. I Mach. ix, 36-59. Ce recit

se rattache au vers. 33 du chap. viii.