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^±JEl*t W^jmEVBSBRAS Chap. XIII Ig

de magusins pour Ies oftrandes.lelTre ! SST’ if- ?* ,. Car autrefois ’ *» +5 miees et Ies dimes, et on les chared*- channel ift ™ ?„ d A ?P h ’ Ic chef des rocuedlir du territoire des villes tes nor et ,r, ?' > ? vait dcs chants de loua °ge lions assignees par la loi au.x>c ?r£ * ; Diet W fj^ ° n inmnear ^ aux fcvite ; car Juda se rejouissaU de i babel et de V ^ ’• au , tem P s d ’ *>ro- 46 voir a leur poste Ies pretres et lesle^ ’ iour if * f Nehem j e . *»nait jour par us. bservanttoutce-uu.eonWmaitle^rrtJ^ ^’ 0nS deS chantres et d <* •sen-ice de leur Dieu ct les ourifiSn, • i t~ £ ’ V" d ° nnait aux levites les sain-

  • de meme les chantres rf^S ! £r°S ?-S fils’" !^ " d ° Bnaimt


§ IV. _ DERNIERS ACTES DE NEHEMIE.

ruxv xiu. _ Zele de XcUmU . on’.re  ! teritoire. J’adressai des reprimandes 11 /a- tmns & resstnrs dc la loi. 1 aux magistrals, et je dis : - [^ourquoi

En ce temps. la, on lut en presence ’< Ft "IV Sm de B ieu , cstelle abandon™* ? " 

du peupledan^ le livre de m£* ?£ fiJItT^ 1 K 1 ^ et les <*™" y irouva ecril que 1’ Ammonite et e Mo a 1 2* h. I * fe ! ! ,IS , a ,eur P 08 ’* A ’°r* «  bile ne devnient jamais en^er dans it JilSi ? f ^ da " S les ""S"** la i scmblee de Dieu parce quails ™Jiont fcTnn.1 % ’.' VI ? n0Uveau et de V^^ avee du pam et de l’cau, et parce qu'ils f >Sas H^V r * ? ’ ,esc n»«. et ava.ent.paye Balaam pour qull les man- d oKs H-m™ t T, Ct Je leur

r -^ nt « la ^P^reEliasib, qui avail eaSTc^lTet ^5 ?’ " m ° n ?*"’ a ’ 4 

I mtendance des chambres de la mii«,,n „. t ■ . ’ et n effacez pas de uoOe de notre Dieu et quiS^u^™^ wTh rn^’T & P ’^ ^ J* ai fait *

arait dispose pou ? ce dernier unegrande Wee- * D ’ CU 0t P° ur son **• 

otlrandes, I’encens KSS h d,i hnS" c % tem P sl ; ’ * vis en Juda des , s Ju. ble, du via nouvea ? t de PhuUe ce ’ Sbbat ’°nt ^ "." Pr ^° ir P "^ 1 " 1 le qui devait etre donne aux kSvitoau^ &"" ?* dcs ^ erbes ’ **"#* ™ chantres et aux porli-rs et ceaut’^ •’ h ^ . mCn)e du v,n ’ dcs ra ’si7K, des

preleve pour les pVetre^ ]l nS S Jf" 8 * 0l ! tc «. surt «’ dc fardeaux qu’ils 

a Jerusalem quaff St *K C I ba’t'T," 1 1 U ^r*" 110 ’" le J our dusab ’ car jetais retourne auprfe du roM-i ’ fc^.l . J "^ l °" na ’ un av ertissement trente-deuxieme ann& ■ d’VrtaSx™ rol ijS " V ? n ? a,e 5. t lcurs denr&s - « V .6

jobtins du roi la permS TrS H ?; f l »PP° rt ™«t & poisson 

a Jerusalem, ct «T m’anra» du mni f tout f . sortesdc marchandises, et qui quavait fait Eliasib, en ar^nt uni S hST !’ fc ^ d *" abbat ’ ^ ^ chambre pour Tobie da^l^rvisdc dV^, *T Jcrusa,em - J’adreeeai 17 i la maison de Dieu. Pen epro^-ai une i i o„ P r " m ? d ^ aux & rands de J« d a et Rrande douleur, et je ieta ?ho« d, J ^ d ’ S : Quelle ^ cctte mauvaisc chambre tons tes oftS^uiSrSt ? ! ^IT^f ?^ cn P rofanant ’« 

naient a Tobie. Puii TordonnaiSn : ^ „t" Sa - bhat ? , X ?*■« P** ainsi q«’««t ’« 

purilidt les chambres, ct ? v reoK i« "^ ? ?*• Ct , « ? e8t ’ ce P 98 (i «"« * ^ensiles de la maW de D eu S & ° DlC " a fait venir tous *» ">aioflrandes et l’encens ’ » hcurs sur no ! ,s ct s ™ <-^tte viUe ? Et Jappris aussi que les portions des U^’. 1°™ a J 0Utei£ . a s » "tens centre kvites navaient pAs e« UvS "t tH rT" *’ 1 " Ensuit e ’9 hjh-ita, , et les’chantres cnSgJ ’du ’ ST , i^r ?« !LS !? «« ? de *«• «rv.ce s’etaient enfuis chacun sur son

l«u.’i !i’ ' £ " c f""’fi’-M, li«.«>«r-ij. Celte ’*uuon wut s’entendre largement d’une <po !

salem, avant le sabbat, j’ordonnai de

fermer Ies pontes, et de ne Ies ouvrir

q ?I5J ? C,COn , qi i e cIe ,a P^" iode appel<ie, an vers prAr^cnt, // Ump* {ies J<mrs)d7xMmU

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