Chap . XVII, 24. H« LIVRE DE SAMUEL. Chap. XVIII, 22. Cest ainsi qu’il mounit, et on 1’enterra Le combat setendit sur toute la contree. 8 dans le tombeau de son pere. et ce jour-lu la foret devora pluVde S
David arnva a Mahanaim : et Absa. que nen devora lepee g
on. passa le Jourdain, lui et tous les Absalom se trouva’en presence des o
StTis arlr ^ ent ?T ,Ui - ’- 1 genS de David ’ U etaifmon^nr u* 9
jiait mis a la tete de l’armee Amasa, a mulet, et le mulet senea^ea dans les a place de Joab ; Amasa etait fils d’un branches tonffues d’^SeS* tTaUe^vS fe ’ lr 2% qUf • ? ^ d ’ AbSal0m « P^" KSS tuit aue vers Abigail, fille de Naas, et il resta suspendu entre le ciel et la
- o *eur de Sama, la mere de Joab. Ainsi terre, et le rank* qui te portmT Bassa"
Kaad m CamPaient danS ^ pa ’ VS ° Utre - Un homme ^yanf vu vK ,0 j«. uaiaaa. rapporter a Joab ; disant : •« I’ai vu h
. Lorsq u eDav,d fut arrive a Mahanaim, salom suspendu i un terebinthl" Joab n
Sob., his de Naas de Rabba des fils dit a l’homme qui lui amxirtait £tte d Ammon, Machir, his d’Ammiel de Lo- nouvelle : "Tu l’as vu • Pol™ ; ,w dabar, et Berzellal, le Galaadite, deRo- ne l’as-tu pas abLTu s^ pB JeJau S gd.ni, vmrentluioffinrdescouvertures, rais bien d^ne dLx sicle^d P Snt et unj des marmi es, des vases de terre, du fro- ceinture. » Cet hommeTenondit a toab • r ■> jnentdelorgede la arinedu grain ■•Xon.quand je S r ma 2„ rot., des feves, des lentil es, des pois ro- mille sides d’arg^ntje ne touchS
is, du raid, du beurre, des brebis et des pas an fils du roi • car nous a von f™
homages de vache : Us apporterent ces tendu le roi te d^e^t Tdre ltoi a c ases en noumture u Dav d et an pen- Abisal et a Ethal : Preni g^rde chacun pie qui etaxt avec lui, car ils ; disaient : de t ,uher au jeune homme a Vb^om /Le peupc a souffert de la faim, de la Et si j’avaisperfidemeStentea^vTe’ n fatigue etde la sou" dans le desert." ; rien n’auraitlte cache au roUoi-meme * chap. xvm. — Defaite et mort I ^ lc ."f a,s dress * «»&* »""’•" Joab 14 d’ Absalom. T .’ /, e ne veux P* 8 m ’attarder aupres
r» -j ^ . detoi ; et avant pris en main trois in. oiSTec t i p rf„ e h I r r elatrou , pc vc , iots ’ u ies ^^ *» s*K
qui ctait avec lui, etabht sur eux des salom, encore vivant au mUieu du tere-
- S ? IrSTfg antS St . ^les^sTToaHn^E ’ 5
Slnecm Ft i ?£ 7f Ce ’ Ui d ,’ Etl l a V.^ < ^’ w,teV J° ab fit *»"«" ^ la tram- .6 UUheen. Et le rot dit au peuplc : " Moi , pette, et le peuple cessa de nuursuivre j auss, Je veux sortiravec vous." Mais le ! Israel, car Joable J5£t <KSH£ 17 peuple : » Tu ne sortiras point ! Car, si Absalom, ils le jcfeSdans Srande ? nous sommes nus en fuite, ils ne pren- j fosse au mmeu de k fordt et on Ssur dront pas garde a nous, et si la moitie lui un tres grand mouS ^de »K ^.Tm^T^ ; i,S n ’ y prendroat tout Israei Sit ton da Js Ste SSe g dWrS« •. t " * ? "»™.««x -De son vivant, Absalom s etait erige iS m lie d entre nous ; il vaut done mieux | le monument qui est dans la valine du que tu puisses venir de la ville a notre ! Roi ; car il disait • " I- n’ai LnT ^ hM« 4 -secours. » Lc roi Icur repondit : " Ce qui ’ pour conse^ e souvenfr deS vm para.tra bon je le feral" Et le roi Et il donna son proprTnom au
- : tint a cote dc la porte, pendant que -
nom."
tout le peuple sortait par groupes de
mille et par groupes de cent II donna
cet ordre a Joab, a Abisai et a Ethal t
" Menatjez-moi le jeune homme, Absa
m . . r monu-
ment, et on Tappelle la main d’Absalom
jusqu’a ce jour.
Achimaas, tils de Sadoc, dit : 4 * Laisse- >g
moi courir et porter au roi la nouvelle
lom’ " fVt" n T. C jeU , ne h0m ? e ’ Absa - i 1 ue X h0}lah Iui » fait justice en le MiiT ; ,,- ■H tont . ’ ? ^P’ 6 entend,t l ordre ^^^ la main de ses ennem^ " Joab 20 tfAtaatanT ’ ^ ta Che& aU SUJCt lui dit : " Tu De «- F^a«Totd’huUe r. rJr • , . porteur de la nouvelle : tu la oortern* h n a nV TO T "S ? 1 d - ans !a cam Pagne a une autre fois.mais t7nel"um,^eS
tTn ?l forS^ ’ a ^l 16 eut au J cu ’d'hui, puisque le K Jd «
ok "SSi fi t k l pltrnm L alepeu- mort." Et JoatTdit a un Couschite • 21 Svi Im ?L^ ttU ^ ICS genS d ? -’Va-etannonceauroicequetuTvu •’ «rV™ • y . eut r ^J° ur " n K rand Le Couschite se prosterna devant loab carnage ; vmgt mille hommes perirent. et courut. Achiinaas, «il" dfsadoc, dit 22
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