Chap. XII, 30. II "e LIVRE DE SAMUEL. Cha p. XIII, 23.
ba il l’attaqua, et s’en rendu maitre. II aux habitants, il les fit sortirlela~riiie7t
enleva la couronne de leur ro. de dcssus les mit aux sties, aux pics de fer et aux sa tete : elk pcsait un talent d’or et . haches de fer, et les tit travailler au moule ctait garme de p.erres precieuses, et on i a briques ; il traita de meme CS lS la nut sur la tete de David, et il emporta j villesV tils d’Ammon.T™ Davtf If
, de la vile un tres grand butin. Quant ! tourna a Jerusalem avec tout le peupl^"
SlI. -IXCESTE DAMXOX. DISGRACE ET RETOUR D’ABSALOM
[XIII — XIV].
■ iiap. xiii. — Inceste if Amnon. p.^f 1 . 3 ’ , couche avec moi, ma soeur. " Absalom U fait assassiner. tile Iui repondit : " Non, mon frere, ne 12 ,„>•,.,. me deshonore pas, car on n’ae-it rmint
.. f-^H^ l amVa qu Absa,oni ’ tik ain8£ en Isra51 : ^e commete^ «tte
Je Daud, ayant unesa-ur quietait belle infamie. Moi.oii irais-je porter mh£ 1^ . TJ^ laA T hamar ’ Amn0a ’ f,Ls Ettoi tu se^ «, m mi I^n dSS ’
- de Dawd, 1 aima. Amnon se tourmentait en Israel. Parles-en au roi ietenrk Ttt
jusqua se rendre malade au sujet de U ne refusera pas de L donner d toi ’ lumar sa so^ur ; car elle ejait vierge, Mais il ne voulut pas Pouter -pLsfort 14 < e ! £ ^ rr 581 ^ a Amn0n dC M - ^ ,eUe ’ U lui fit ™ lence « SuchaavS * ’ lnn^h%. r c 0navait "" am J I ’ ? omme elIe - Aussitot Amnon eut pour elle une • ; . J h„" i ^ ls . f de , Sem " laa - trere de David, forte aversion, plus forte que n’avait etc
j-t Jonadab etart un homme fort avise. II son amour ; et Amnon lui dit ™ Leve
I.id.t :Fourquoies-tuainsidefait,tils toi, va-t’enV’ ElIe lui reoondit • - i» ,r as’" Ironr " ? N %T Ie d ^ tU "l al *» ta m’» ifiltffflSL- le ml"’ 6 pas. Amnon lui repcndit : •• J’aime plus grand encjrede me chasser ’Mak Ian ars^urde mon frere Absalom. •’ sans vouloir l*outer, ilaS le -ar’ ,,
fSlS ’"V^ : V MetS - t - 0i au Ut et fais «»« ^ ui le scrvait et dit : P ’ Met te c£te ’
iS, : 2 ^ *» ^ viendra . te *"»* dehors loin de moi ; et ferme a n«- T^m ^ : PermetS ’ Je te prie ’ P 01 "* derriere elle - ■’ Or eUe avak un2 iS que lhamar, ma sceur, vienne me don- robe longue, car cetait le vetement do£. ner ;i manger, et qu’elle prepare le mets , par les filWdu roi en gufse demanK sous mes yeux, afin que je le voie, et je aussi lor^emps qu’elKaien ? viera^’ rffiTif ^T" ; Amnon secou. Le seniTeur d^Lon la mft deno^i X’i "^ f C r ° l • int le Voir ’ ferma Ia P° rte derri «« elle. Thamar 10 U Amnon lui dit : » Je te prie, que Tha- repandit dela poussiere sur sa tete et mar, ma sceur, vienne faire deux gateaux dechira sa lonJueTobe ! er m «tan ? h ^ mes yeux, et que je les mange de sa main sur sa tele ? elle sValla e ?^ f i~ .- 1 ,. . ^nt «ies cris. Absalom, son frere lui m larZemen^^ a T1 S nB ? danS dit : " Vraiment ’ ton ^Tmn^a-t i ■ "f ™™ 1 ^J 61 "- : ,". Va «-’"^ ton ete avec toi ? Maintenant, ma soeur, tais hvu Amnon et prepare-lm un mets. " toi, c’est ton frcre ; ne prends Dascetn-Sri. 1 Prenant de la pate, elle la meurar, consumee dt chagrin, dans la o S"l^ fif ^ a ^.g^^ sous ses yeux maison de son frere AbsaSm. Sue -, iS SLs^S-rii^’ l r a ^ i c roi . David a pp fU toutes ^ cts* -• mnn^^L ^"V M !i,s ,1 r , r ^ fusa de fut t«*» »rrite : [mais il ne voulut pas contTr d^’^Tr d,t a i ors - : I* Faitessor - ’rister 1’esprit d’Amnon, son filHa ? il io furl Ji 4 ^ m u ndc : Lors( J ue tous raimait «»«« etant s<^n prem er^e TtamTr^iiS !U *V Anaujii dtt a Absalom nadressait plus aucunT^ole 22 chirh^’ P f ApP9rt f lemets, i anslalcove bonne ou m a "vaise a Amnon, car il le Tnnm, ’ ?", e Je * ? man gede tamain." ; halssait a cause de l’outrage fait a Thi 1 namar pnt les gateaux qu’elle avait : mar, sa steur. ^ " A^dS^^T^- Anin0n ! ^ ans apri :s ’ comme Absalom 23 tiit • il C ?," 1 " 112 deles lui prtjcn- avail les tondeure a Baal-Hasor, ores tait^manger, il la sais.t et lui dit : j d’Ephraim, il invita tous les Sk du rot
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