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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TOME DOUZIÈME.

TRAITÉS DE MORALE.

MANUEL
OU

{{c|TRAITÉ DE LA FOI, DE L’ESPÉRANCE ET DE LA CHARITÉ.

Chapitre premier. L’auteur définit la véritable sagesse et la souhaite à Laurentius.
1
— II. La sagesse de l’homme est tout entière dans la piété.
1
— III. On honore Dieu par la foi, l’espérance et la charité.
2
— IV. Questions posées par Laurentius. — Réponse d’Augustin.
2
— V. Réponse à la troisième et à la quatrième question.
2
— VI. De la matière que peut contenir un manuel.
2
— VII. Le Symbole et l’Oraison dominicale renferment la foi, l’espérance, la charité.
3
— VIII. Explication générale de la foi, de l’espérance, de la charité : de leur union indissoluble.
3
— IX. Exposition des principes de la foi, dans l’ordre même du Symbole. — Science nécessaire au chrétien.
4
— X. De l’origine du mal.
4
— XI. Pourquoi Dieu permet-il le mal ? Le mal n’est que la négation du bien.
4
— XII. Tous les êtres créés sont bons ; l’imperfection de leur nature les assujétit à la corruption.
5
— XIII. Point de mal sans bien.
5
— XIV. Le mal naît du bien.
6
— XV. Explication de ce passage : « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits ».
6
— XVI. La science n’est pas un élément essentiel du bonheur.
6
— XVII. En quoi consiste l’erreur. — L’erreur n’est pas toujours nuisible. — Anecdote.
7
— XVIII. Tout mensonge est un péché, mais la gravité en est relative. — L’intention fait le mensonge.
7
— XIX. L’erreur est toujours un mal, quoique à des degrés différents.
8
— XX. Toute erreur n’est pas un péché. — Réfutation du scepticisme de la nouvelle Académie.
9
— XXI. L’erreur, sans être toujours une faute, est essentiellement un mal.
9
— XXII. Tout mensonge est un péché.
10
— XXIII. La bonté de Dieu est le principe de tous les biens : le mal vient de la révolte de la volonté chez les êtres d’une perfection bornée.
10
— XXIV, Le mal a une seconde cause, l’ignorance et la concupiscence.
10
Chap. XXV. Châtiments du péché.
11
— XXVI. La peine attachée au péché d’Adam se transmet à toute sa race.
11
— XXVII. De l’état de l’homme après le péché d’Adam. — Miséricorde de Dieu envers lui.
11
— XXVIII. Sort des bons anges.
11
— XXIX. La partie du genre humain qui se relève de sa chute remplace les anges bannis du ciel.
12
— XXX. L’homme ne se relève point par ses mérites, mais par la puissance de la grâce.
12
— XXXI. La foi et les bonnes œuvres sont un don de Dieu.
12
— XXXII. La bonne volonté dépend de Dieu.
13
— XXXIII. Nécessité d’un médiateur : en quoi consiste la colère de Dieu.
13
— XXXIV. De l’incarnation du Verbe. — Réfutation des Apollinaristes.
14
— XXXV. Jésus-Christ est tout ensemble Dieu et homme.
14
— XXXVI. La grâce éclate dans l’humanité de Jésus-Christ.
15
— XXXVII. La naissance de Jésus-Christ, en tant qu’elle est l’œuvre du Saint-Esprit, est un effet de la grâce.
15
— XXXVIII. Jésus-Christ n’est pas le fils du Saint-Esprit, mais il a Marie pour mère.
15
— XXXIX. L’origine ne suppose pas nécessairement la filiation.
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— XL. La naissance de Jésus-Christ par l’opération du Saint-Esprit révèle la grâce qui a uni le Verbe à l’humanité dans une seule personne.
16
— XLI. Jésus-Christ, péché.
17
— XLII. Le baptême.
17
— XLIII. Péchés effacés dans le baptême.
17
— XLIV. Le singulier pour le pluriel et réciproquement.
17
— XLV. Le péché originel est complexe.
18
— XLVI. Le péché originel n’est pas le seul qui se transmette avec le sang.
18
— XLVII. A quelle génération s’arrête la transmission des fautes.
18
— XLVIII. Le péché originel ne peut être effacé que par Jésus-Christ.
19
— XLIX. Le baptême de Jean n’avait pas la vertu de régénérer.
19
— L. Jésus-Christ efface tous les péchés.
19
— LI. Nécessité d’être régénéré en Jésus-Christ.
19