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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. VII. Les nombres de jugement sont-ils éternels ?
VIII. Tous les nombres sont soumis au contrôle des nombres de jugement.
IX. Il y a dans l’âme d’autres nombres supérieurs aux nombres de jugement.
X. Du rôle que joue la raison dans l’étude de la musique, dont le charme tient exclusivement à un rapport d’égalité.
XI. L’harmonie, dans les choses inférieures, ne doit pas offenser, celle des choses supérieures doit seule charmer. Différence entre l’imagination de mémoire et l’imagination pure.
XII. Des nombres spirituels et éternels.
XIII. De la manière dont l’âme se détourne de l’immuable vérité.
XIV. L’âme s’élève à l’amour de Dieu par la connaissance de l’ordre et de l’harmonie qu’elle goûte dans les choses.
XV. L’âme accomplira en paix les mouvements du corps après la résurrection : la perfection de l’âme consistera alors en quatre vertus.
XVI. Comment ces quatre vertus sont l’apanage des bienheureux.
XVII. Des harmonies auxquelles l’âme pécheresse donne naissance et de celles qui la dominent. — Conclusion de l’ouvrage.

DES MŒURS DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE
ET DES MŒURS DES MANICHÉENS.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

LIVRE PREMIER.
Des Mœurs de l’Église catholique.

Chapitre premier. Les manichéens démasqués : deux moyens employés par eux pour tromper.
II. Les manichéens condamnés au tribunal de la raison. — Vice de leur méthode.
III. Le souverain bien pour l’homme. — Ses conditions.
IV. Qu’est-ce que l’homme ?
V. Le souverain bien de l’homme est avant tout le souverain bien de son âme.
VI. La vertu conduit à la possession de Dieu.
VII. Dieu révélé par les Écritures. — L’économie divine touchant notre salut. — Abrégé de la foi.
VIII. S’élever vers Dieu par un amour souverain.
IX. La charité. — Accord de l’Ancien et du Nouveau Testament.
X. Ce que l’Eglise nous enseigne par rapport à Dieu. — Les deux dieux des manichéens.
XI. De l’amour souverain pour Dieu. — Les deux conditions du souverain bien.
XII. La charité nous unit à Dieu.
XIII. Union avec Dieu par Jésus-Christ et le Saint-Esprit.
XIV. L’amour nous unit à la Trinité.
XV. Définition chrétienne des quatre vertus cardinales.
XVI. Accord de l’Ancien et du Nouveau Testament.
XVII. Apostrophe aux manichéens.
XVIII. L’Église catholique résumant les deux Testaments.
XIX. L’office de la tempérance, d’après les Écritures.
XX. Mépris des choses sensibles. — Amour de Dieu seul.
XXI. La gloire mondaine et la curiosité condamnées par les Écritures.
XXII. L’amour de Dieu produit la force.
XXIII. Conseils et exemples de force tirés de l’Écriture.
XXIV. De la justice et de la prudence.
XXV. Les quatre vertus et l’amour de Dieu.
XXVI. Amour de soi-même et du prochain.
XXVII. Bienfaisance en faveur du corps du prochain.
XXVIII. Bienfaisance en faveur de l’âme du prochain.
XXIX. De l’autorité des Écritures.
XXX. L’Église catholique.
XXXI. Les anachorètes et les cénobites.
XXXII. Éloge des clercs.
XXXIII. Les chrétiens dans le monde.
XXXIV. Les mauvais chrétiens condamnés.
XXXV. Concessions faites par l’Apôtre aux baptisés.