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XVI. Faire ce qui paraît probable sans le croire vrai, c’est mal faire.
XVII. Pourquoi les académiciens ont caché leur véritable sentiment.
XVIII. De quelle manière les académiciens répandirent la doctrine de la probabilité.
XIX. Plusieurs genres de philosophie.
XX. Conclusion de l’ouvrage.
DE LA GRANDEUR DE L’ÂME.
Traduction de M. l’abbé MORISOT.
Chapitre premier. Evodius propose sept questions au sujet de l’âme. D’où vient l’âme. — Sa patrie est en Dieu. — L’âme est une substance simple.
II. Nature de l’âme.
III. Grandeur de l’âme.
IV. L’âme n’est pas un néant, bien qu’elle n’ait ni longueur, ni largeur. — La hauteur. — Le vent.
V. La force de l’âme est infime.
VI. La longueur est quelque chose de simple.
VII. Pour découvrir la vérité, la voie d’autorité est plus courte, et la plupart du temps plus sûre que la voie de la raison.
VIII. Des figures mathématiques. — De combien de lignes se compose une figure ? — Comment une figure se peut former de trois lignes ?
IX. Quelle est la plus belle figure ? — Dans un triangle qu’y a-t-il d’opposé à l’angle ?
X. Parfaite égalité dans les figures.
XI. Quelle est la figure la plus parfaite ? Le signe. — Le point.
XII. Puissance du point.
XIII. L’esprit incorporel voit des choses incorporelles. — Qu’est-ce que l’esprit ?
XIV. Ce que peut l’esprit incorporel.
XV. Objection : L’âme se développe avec l’âge.
XVI. Réponse à l’objection. — Le développement de l’âme est indépendant de celui du corps.
XVII. C’est par métaphore, que l’on dit de l’âme qu’elle croît avec le temps.
XVIII. La faculté de parler, qu’un enfant acquiert peu à peu, ne doit pas être attribuée aux accroissements de l’âme.
XIX. En quel sens on dit que l’âme croît ou décroît.
XX. L’âme sait-elle quelque chose d’elle-même ?
XXI. Les forces plus grandes à un âge plus avancé ne sont pas une preuve de l’accroissement de l’âme.
XXII. D’où vient le développement des forces corporelles ?
XXIII. L’âme sent par tout le corps, sans être étendue comme lui. — Qu’est-ce que sentir, et qu’est-ce que voir ?
XXIV. Examen de la définition du sens.
XXV. Comment il faut peser une définition.
XXVI. Les bêtes sont-elles douées de science et de raison ?
XXVII. Raison et raisonnement.
XXVIII. Les bêtes ont des sensations sans avoir la science.
XXIX. En quoi diffèrent la science et la sensation.
XXX. Bien que l’âme reçoive des sensations de toutes les parties corporelles, elle n’est pas néanmoins répandue par tout le corps.
XXXI. Si un ver continue à se mouvoir après avoir été coupé, est-ce une preuve que l’âme soit étendue par tout le corps ?
XXXII. Comparaison ingénieuse : comment la vie peut continuer à se manifester dans les parties diverses d’un animal mis en pièces. — Second sens donné à la grandeur de l’âme.
XXXIII. Les sept degrés de la puissance de l’âme.
XXXIV. La nature divine est seule préférable à la nature de l’âme. Aussi l’homme ne doit adorer que Dieu.
XXXV. Autres manières de désigner les sept degrés de la puissance de l’âme.
XXXVI. Merveilleuse harmonie entre l’univers et la religion véritable. Les autres questions relatives à l’âme se trouvent résolues.