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Seigneur, souviens-toi de mon malheureux pays… Prends-le en pitié ! chasse ces étrangers.

Nous avons assez supporté leur froide atmosphère ; nous les avons assez nourris et abreuvés de notre sueur et de notre sang.

De ta main divine éloigne-les de nous, afin qu’ils ne foulent plus la poussière de nos vieux héros !