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d’autrefois ne chasse pas de ton cerveau troublé les hallucinations de la fièvre, eh bien, tu nous quitteras… et cette fois pour toujours… Tu ne peux pas me refuser cela !
Jean.
Je ne peux rien vous refuser, ma mère !
La Comtesse.
Nous partons ce soir…
Jean.
Je vous rejoindrai dans le courant de la semaine.
La Comtesse.
Non ! Pars avec nous… autrement tu ne partirais pas !
Jean.
Mais… ce soir, c’est bien court…
La Comtesse, lui mettant les bras sur son cou.
Je t’en supplie !… fais-moi la grâce tout entière !… Je ne vivrais pas là-bas jusqu’à ton arrivée… Laisse-moi emporter mon trésor avec moi !
Jean, lui prend la tête dans les mains et l’embrasse.
À quelle heure partez-vous ?
La Comtesse.
À huit heures.
Jean.
Vous me trouverez à la gare.
La Comtesse, le couvrant de larmes et de baisers.
Merci, mon enfant bien-aimé ! Je savais bien que je te sauverais… Je cours porter cette bonne nouvelle à ton