Page:Augier - Théatre complet, tome 5, 1890.djvu/431

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

D’Estrigaud, s’avançant lentement vers Cantenac.

Ainsi, à votre avis, mon cher Cantenac, ma réputation a encore besoin d’une petite affaire ?

Cantenac.

Dame !

D’Estrigaud, lui donnant une chiquenaude sur le nez.

Eh bien, la voilà !

Cantenac, furieux, mais retenu par Lucien.

Vous êtes fou, monsieur !

Navarette, à part.

Je suis baronne ! — Pauvre Cantenac !