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J’avais toujours la même répugnance pour la couture, et sœur Marie-Aimée commençait à s’en inquiéter.

Elle en parla devant moi à la sœur de M. le curé. C’était une vieille demoiselle qui avait une longue figure, et de grands yeux fanés. Elle s’appelait Mlle Maximilienne.

Sœur Marie-Aimée disait combien elle était inquiète de mon avenir ; elle trouvait que j’apprenais les choses avec une grande facilité, mais qu’aucun travail de couture ne m’intéressait.

Elle avait remarqué depuis longtemps que j’aimais l’étude. Alors, elle s’était informée s’il ne me restait pas quelques parents éloignés, qui auraient pu se charger de moi ; mais il ne me restait qu’une vieille parente,