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MARIE-CLAIRE

ches. Sœur Marie-Aimée ne savait plus que faire pour m’encourager ou me punir.

Un jour, elle décida que je ferais la lecture tout haut, deux fois par jour. Ce fut une grande joie pour moi ; je trouvais que l’heure de la lecture n’arrivait jamais assez vite, et je fermais toujours le livre avec regret.