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joyau d’or, appelle et adule les courtisanes. Elles occupent dans l’oasis aux cent cinquante mille palmiers, tout un quartier. Et, elles contribuent au moins autant que les courses de Méharas, à attirer les hiverneurs.

Dans les steppes du Sahara des marabouts berbères, appelés Tagama (Saints) qui laissent croître leurs cheveux et les disposent en longues tresses pour être remarqués de loin, ont une industrie traditionnelle, c’est de faire trafic de leurs femmes avec les étrangers. Ces mœurs se retrouvent, chez les tribus d’origine berbère en Tripolitaine.

Hérodote raconte, que les filles de la Lydie se livraient à la prostitution. Elles exerçaient ce métier, jusqu’à ce qu’elles trouvassent à se marier. C’est ainsi qu’elles se mettaient en état de choisir un époux.




Arts et Industries des Femmes Arabes




En savourant l’holocauste des exquises Oulad-Naïl, le polygame demande à grands