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journaux scientifiques, soit dans des livres didactiques dont la composition a absorbé les plus fortes années de notre vie.

Ainsi nous avons publié : en 1835, un Mémoire sur la médecine philosophique ; en 1839, un Traité de Philosophie médicale ; en 1853, un Traité de la science médicale ; et tous ces livres ont contribué à répandre la bonne doctrine par la haute et savante critique dont ils ont été l’objet particulier de la part des écrivains les plus éminents au nombre desquels nous aimons à citer : les docteurs Bessière, Bourdin et Brochin ; le professeur Bouisson (de Montpellier) ; les docteurs Blanchard ; Isidore Bourdon et Bousquet de l’Académie impériale de médecine ; les docteurs Ed. Carrière, Cerise ; le professeur Costes (de Bordeaux) ; le docteur Amédée Dechambre ; les professeurs agrégés Farrat et Quissac (de Montpellier) ; les docteurs Ferrein, Foucart ; le professeur Gaussail (de Toulouse) ; les docteurs Amédée Latour, Munaret ; le professeur Pétrequin (de Lyon) ; les docteurs Félix Roubaud, Villemin, Verger, Sales-Girons, M. Peisse et le professeur Tourdes (de Strasbourg).

Enfin dernièrement, après la discussion solennelle qui a eu lieu à l’Académie sur le vitalisme et l’organisme, nous avons exposé les données de la science